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Qui se cache derrière le groupe SOS qui reloge les clandestins de Calais dans les villages
Une entreprise tentaculaire aux ramifications mondialistes qui marchandise la santé des Français avec de l’argent public, installe désormais les clandestins de Calais dans les villages, avec la bénédiction des Préfets.
Les dirigeants du Groupe SOS ?
- Un ancien patron de boites de nuit marseillais,
- Un jeune loup adepte des think-thanks atlantistes,
- Un médecin qui participe à un rapport interministériel sur les LGBTphobies dans les maisons de retraite.
Ordo ab Chaos…
Les 14 000 étrangers en situation irrégulière de la jungle calaisienne vont être disséminés partout en France. La jungle de Calais va être entièrement démantelée.
Ce qui est une très bonne nouvelle pour les calaisiens, qui souffrent depuis longtemps de la situation. Mais ces clandestins ne vont pas être reconduits aux frontières (les frontières, cela n’existe plus), ils vont être dispersés partout sur le territoire métropolitain.
Le plan de l’Empire s’accélère.
Plus de 14 000 personnes seront ainsi réparties par régions puis départements. Vont être épargnés la Corse suite à la rixe sur la plage de Sisco cet été, et l’Île de France, suite aux récentes tensions à Forges-les-Bains dans l’Essonne. Une bonne raison de résister, qui prouve une fois de plus que le gouvernement a peur et essaie d’agir au maximum dans l’ombre. Depuis quelques jours, un petit village de l’Hérault bouillonne de colère. Sur les 207 clandestins qui vont être installés dans le département, 87 doivent être logés à Saint-Bauzille-de-Putois, une bourgade de 1 800 habitants.
L’attention de la presse se focalise sur la manière dont est gérée la situation.
Le gouvernement impose aux communes, via les Préfets, sans discussions préalables et sans l’accord des représentants locaux, ces fournées d’immigrés. Ces étrangers résidant illégalement sur notre territoire sont relogés par les Préfets, qui sont supposés être en charge des intérêts nationaux, et du respect des lois, c’est à dire que ce sont les hauts fonctionnaires qui organisent l’implantation sur le territoire d’étrangers hors-la-loi, une situation orwellienne !
C’est une véritable déclaration de guerre de l’Etat à sa population.
Le maire du village de Bauzille-de-Putois, Michel Issert, parle de "diktat de la Préfecture", et enrage d’avoir été "mis devant le fait accompli, sans concertation". Mais un détail de cette affaire, qui commence à faire du bruit, a été très peu commenté. Les clandestins doivent être installés dans un centre de loisirs qui porte le doux nom de Lutins Cévenols, et dont on apprend qu’il est géré depuis quelques années par SOS solidarités.
Le Groupe SOS : le géant du secteur sanitaire et social, une structure tentaculaire et boulimique, inconnue du grand public. SOS solidarités ? Mais qu’est-ce que c’est ?
Une énième association de bénévoles ? Pas du tout, SOS Solidarités c’est un des pôles d’une entreprise privée, le Groupe SOS, dont quasiment personne, à part les lecteurs de Forbes ou Challenges, et les travailleurs du secteur sanitaire et social, n’a jamais entendu parler.
Sur Wikipédia :
"Le Groupe SOS est une organisation française spécialisée dans l’action sociale qui regroupe des entreprises et des associations. En 2015 elle employait 12 000 salariés et générait 700 M d’euros de chiffre d’affaires à travers 350 établissements."
12 000 salariés ? 350 établissements ? C’est absolument énorme, c’est LE géant du secteur sanitaire et social en France. Le Groupe SOS, né en 1984, sous l’appellation de SOS Drogue International, avait au départ pour but d’aider les drogués, tant au niveau du sevrage que de la réinsertion.
L’association fut créée par Régina Zylberberg, alias Régine, la chanteuse et reine de la nuit parisienne.
Puis très vite, l’association devint une entreprise, elle se diversifia, passant de l’aide aux toxicomanes, à l’aide aux porteurs du VIH, puis aux SDF, développant des structures d’accueil et de réinsertion. Elle crût à une vitesse phénoménale, mélangeant la gestion d’associations et d’entreprises, en devenant propriétaire ou gestionnaire d’hôpitaux, de maisons de retraites, de cliniques privées et même de crèches ! En 2009, le Groupe SOS comprenait 10 associations et 11 entreprises pour un chiffre d’affaires de 155 millions d’euros et 2 200 salariés.
La structure ne se contentait plus de croître, elle avalait désormais les autres.
Elle commença à racheter les associations en difficulté et les entreprises des secteurs qu’elle convoitait, tant dans le domaine social, que de la santé, de l’hébergement ou de la petite enfance. En moins de 10 ans, le groupe a ainsi multiplié par 7 son chiffre d’affaires et par 8 son nombre d’employés et a avalé un grand nombre des associations et structures préexistantes.
Une croissance exponentielle !
Une réussite économique de la privatisation : une entreprise qui ne connaît pas la crise, puisqu’elle se gave d’argent public.
Mais qui sont ses clients ?
C’est ici que l’affaire prend une tournure intéressante. En mélangeant savamment les entreprises et les associations, les maisons de retraites, les cliniques et les lieux d’hébergements pour les pauvres, le Groupe SOS gagne sur tous les tableaux. Il possède quelques clients privés, qui viennent se faire soigner dans ses cliniques ou payent des places en maisons de retraites médicalisées.
Mais son client privilégié reste l’Etat sous toutes ses formes.
D’après le quotidien Libération 80 % du chiffre d’affaires du Groupe SOS provient des contrats publics. Cette entreprise privée en très bonne santé financière, ponctionne donc notre argent, celui des impôts et des cotisations, puis elle arbore ensuite fièrement un beau bilan comptable. Il faut ensuite ajouter toutes les subventions dont bénéficient les multiples associations loi de 1901 du Groupe SOS. En France, la gestion de la santé et celle du social sont supposés être des missions de service public, et relevaient jusqu’à présent d’une prérogative de l’Etat.
Mais ça, c’était avant !
Depuis la fin des Trente Glorieuses nos gouvernants successifs, sur ordre de leurs maîtres de Bruxelles et d’ailleurs, liquident morceau par morceau les restes de l’Etat-Providence. La France s’est dotée depuis 1945 d’un très gros système d’aides et de prestations sanitaires et sociales. Ces organismes sont gérés par l’Etat via son ministère de tutelle, ou dépendent de la Région, du Département voire des communes.
Ce mille-feuilles administratif est depuis plusieurs décennies en voie de décentralisation, sous la pression de l’Europe. Ainsi les régions, les communes, les départements se voient attribuer la totalité des compétences et des missions de services public avec une partie du budget seulement. Les conseils régionaux et généraux font ainsi appel à des entreprises privées pour gérer les hôpitaux, les maisons de retraites, les foyers sociaux culturels etc.
La part la plus importante a été transférée aux régions.
Les agences régionales de santé -ARS- créées en 2010 sous l’ère Sarkozy, gèrent désormais les missions sanitaires et sociales en France. Les ARS ont absorbé une partie des anciennes missions de la direction départementale des affaires sanitaires et sociales -la fameuse DDASS-, disparue depuis 2010. Certaines prérogatives de la défunte DDASS, tels la politique sociale, le logement, la politique de la ville, de la jeunesse et des sports et la vie associative, restent à la charge du département. Les directions départementales de la cohésion sociale -DDCS- ou directions départementales de la cohésion sociale et de la protection des populations (DDCSPP, à vos souhaits !) notamment. Au niveau régional et départemental, ces 3 acronymes, les ARS, les DDCS et les DDCSPP, cogèrent les Etablissement d’Hébergement pour personnes agées dépendantes, -EHPAD-, en français les maisons de retraites ! Certains services sont encore nationaux tels que les soins infirmiers à domicile.
Le lecteur commence-t-il à comprendre ou on l’emmène ?
Les régions et les départements ne peuvent faire les investissements nécessaires à la création et à l’entretien de structures sanitaires et sociales. Ils font donc appel à des entreprises privées. La branche SOS solidarités, du Groupe SOS, est propriétaire de dizaines d’établissements, d’hôpitaux, d’EHPAD, de SSIAD, des maisons médicalisées, des centres de puériculture. Ils ont touché des aides et subventions pour construire leurs structures, les conseils régionaux et généraux dotent les maisons de retraites et les centres médicalisés avec de l’argent public. De plus, comme les patients ne paient pas la totalité des frais et s’en font rembourser une partie, cette société privée reçoit des montagnes d’argent public, via la sécurité sociale et les différentes aides, comme la caisse primaire d’assurances maladie -CPAM- ou encore la caisse des allocations familiale -CAF-. Et c’est le Groupe SOS qui empoche une partie des différentes prestations.
Le hold-up !
La santé, la jeunesse et les actions sociales représentent 10% du PIB de la France, les perspectives de croissances sont exponentielles.
Mais si ce n’étaient que cela : le Groupe SOS est une véritable pieuvre, qui a tellement diversifié ses activités qu’il faudrait des pages pour tout recenser. Il agit évidemment en tant que conseiller, il fait partie de la longue et scandaleuse liste de tous ces prestataires de services extérieurs, qui empochent des dizaines de milliers d’euros des conseils généraux et départementaux pour des rapports qu’un élève de Science-po première année aurait pu rédiger. Leur filiale Alterna, qui gère leur gigantesque parc immobilier, le fait en "collaboration avec les services de l’Etat et la Caisse des Dépôts et Consignations"
Encore et toujours une part d’argent public.
Une de leurs nombreuses associations humanitaires, TAMA, qui aide à la réinsertion de mineurs délinquants à Mayotte se félicite sur sa plaquette promotionnelle "d’une prise de risque importante en émargeant pour la première fois sur des fonds sociaux européens pour créer une structure d’insertion par l’activité économique". Une prise de risque ?
Demander de l’argent public issu de l’Union européenne, il fallait oser !
Ensuite, SOS solidarités intervient dans le SAH (Secteur Associatif Habilité) et gère ainsi des dizaines de centres éducatifs renforcés ou fermés, (CER et CEF) qui ne sont rien de moins que les centres de détention des mineurs délinquants !
Sur les 15 000 employés du groupe il y a donc des centaines de travailleurs sociaux.
La privatisation des hôpitaux, de l’aide à l’enfance, du social, et même des prisons s’est majoritairement faite au profit de SOS solidarités en France. Dans les Yvelines, le service de placement familial est carrément à eux, avec l’agrément du Conseil Général, qui fixe les tarifs ! Dans la longue liste de ces domaines d’interventions on trouve l’aide aux migrants, clandestins et sans-papiers via leurs centres d’accueils, et leurs foyers sociaux ainsi que leurs associations.
Une hydre tentaculaire, présente sur plusieurs continents qui diffuse de "l’information" à travers plusieurs médias. Dans l’incroyable diversité du groupe on trouve, outre une chocolaterie parisienne qui ne vend que des produits "commerce équitable", des ONG présentes en Afrique comme Djantoli8, ou l’association Gingko9 qui organise des congés de solidarité, permettant à des entreprises d’envoyer ses salariés faire de l’humanitaire dans les pays du sud, et également les magazine, Respects et UP mag !
Up mag10 est une espèce de magazine moitié bobo branché, moitié entreprise business innovation. Du franglais, de la bonne humeur, des perspectives de croissance, de l’innovation, des couleurs pop, des nouvelles technologies, du commerce équitable, du consulting, des jeunes qui innovent et des potagers bio urbains, c’est l’ambiance de Up mag, et de ces rencontres Up café, qui se déroulent place de la République à Paris.
Et ce concept UP qui appartient donc au Groupe SOS, a installé ses bureaux… dans les anciens locaux de Charlie-Hebdo, 10 rue Nicolas Appert, 75011 Paris, le lieu de l’attentat du 10 janvier 2015.
Respects Magazine est carrément un journal de propagande, pro-migrant, pro féminisme, pro-théorie du genre, pro-islam en France, pro LGBT pro-métissage, pro-laïcité etc. Leur sous-titre : « Et si la clé du mieux vivre-ensemble, c’était d’être mieux informé ? »
Les dirigeants du Groupe SOS, Le panier de crabe.
Un ancien haut fonctionnaire du corps préfectoral
Le directeur général de la branche SOS solidarité c’est Jean-Christophe Paille. Enarque, il est un transfuge de l’ARS de Champagne-Ardenne. Dans son CV internet on peut également lire qu’il a été Secrétaire général aux affaires régionales.
Le secrétaire régional est placé sous les ordres du préfet de région et est chargé du développement économique et surtout de l’aménagement du territoire. Il est donc un membre du corps préfectoral, et est également chargé d’une grande partie de la gestion des fonds européens (FEDER, FSE, FEADER) en matière de développement du territoire. Ainsi cet ancien haut-fonctionnaire est désormais passé dans le business privé. Cela doit payer plus.
- Un médecin qui s’inquiète du problème de l’insertion des transsexuels porteurs du VIH dans les maisons de retraites. Le délégué général du groupe est un ancien médecin, Guy Sebbah. Dans la liste de ses faits d’armes, notons qu’il a cosigné en 2013 un rapport remis à la ministre déléguée, chargée des Personnes âgées et de l’Autonomie, Mme Delaunay. Ce rapport porte sur le vieillissement des personnes LGBT et/ou atteintes du VIH14. On aimerait savoir combien il a touché pour ce rapport hallucinant d’une soixantaine de pages ?
Dans les 23 propositions faites au ministre, on trouve : "Développer la connaissance des LGBTphobies auprès des personnes âgées" ou bien "Permettre le mariage posthume de certains couples sous certaines conditions afin de leur offrir un droit à des ressources dont ils ont été privés du fait de l’inégalité du mariage jusqu’en 2013" Hein ? Du délire à l’état pur, sans oublier l’ahurissante proposition de mettre des capotes et du matériel sexuel à disposition des personnes âgées dans les maisons de retraites !
- L’ancien patron marseillais des boites de nuits de Régine, qui co-fonda SOS Drogue international et fut condamné pour trafic d’ectasy.
Le PDG et fondateur du Groupe SOS est un personnage atypique et difficile à cerner. Il s’appelle Jean-Marc Borrello.
Selon les articles qui nous racontent sa vie, celle-ci est un conte de fées, et … on a vraiment du mal à y croire lorsque qu’on y réfléchit. Pour résumer, Jean-Marc est né dans les Bouches du Rhône d’un père militaire et d’une maman ouvrière. On raconte qu’il était éducateur aux Ulis mais en autodidacte.
Puis, selon Libération : "En 1982, avec la gauche au pouvoir, on lui propose de rejoindre la Mission Interministérielle de Lutte contre la Drogue et la Toxicomanie (Mildt). Puis, il part prêter main-forte à Gaston Defferre, ministre de l’Intérieur et maire de Marseille."
Paf ! comme ça !
Un éduc-spé en fraude, (parce qu’avoir l’agrément pour s’occuper de mineurs mais pas le diplôme c’est totalement illégal) se voit proposer un poste au ministère ! Ça c’est de la promotion…
Il croise Régine, celle-ci lui propose, alors qu’il prétend n’y rien connaître, de gérer ses restaurants, hôtels et surtout boîtes de nuit. Parfois la chance vous sourit, un beau parcours dont les mots clefs sont : irrégularité, maire de Marseille (dont Thierry Le Luron avait dit lors de sa nomination comme ministre de l’Intérieur "Pour s’occuper du grand banditisme, il valait mieux un spécialiste", ajoutez à cela le monde de la nuit de la jets et et la gestion de boîtes de nuit… comprenne qui voudra.
En tout cas, c’est ainsi que Jean-Marc Borello se retrouva à gérer l’association de Régine, SOS Drogue International. Eclaboussé par le scandale d’un trafic d’ecstasy dans les locaux du Palace -SOS drogue ?-, qui cachait en réalité des affaires de rivalités et de gros sous, le gérant de Régine fut condamné à une peine avec sursis.
Une gestion opaque épinglée par plusieurs rapports de l’IGAS. Sa gestion d’entreprise fascine certains et en agace d’autres. La Cour des comptes regrette "un manque de transparence ".
Selon un rapport de L’inspection générale des affaires sociales -IGAS- de 1999 "certaines DDASS constatent avec regret le manque de transparence avec lequel l’association travaille. […] Cette opacité dans la gestion de certaines structures et certaines anomalies comptables constatées ont conduit plusieurs DDASS à saisir une demande d’enquête d’autres administrations.".
En 2005, l’inspection générale de la ville de Paris, en arrive aux mêmes conclusions. "La complexité des montages adoptés pour le Groupe SOS rend extrêmement difficile la lisibilité et le contrôle de leurs opérations par les services de l’État. Cette complexité se trouve accrue par les changements permanents de dénominations et de périmètre des différentes entités."
Mais le pire n’est même pas cette organisation opaque tentaculaire et protéiforme. Il y a des erreurs comptables dans son bilan. De l’argent semble entrer dans les caisses et on ne peut absolument pas en trouver la provenance :
"Les lignes de détails des comptes cumulés pour l’association SOS Drogue International (soit pour l’ensemble de ses structures sur le territoire) font état de manière erronée de subventions très importantes de la part de la Mission Interministérielle de Lutte contre les Drogues et la Toxicomanie (7,960 M d’euros pour 2001, 4,533 M d’euros pour 2002 et 1,6 M d’euros en 2003). La MILDT n’a en effet pas confirmé ces chiffres aux rapporteurs, faisant état globalement de subventions versées aux structures de SOS DI pour l’ensemble du territoire de 2,3 M d’euros et de 1,9 M d’euros respectivement, pour les années 2001 et 2002. Les mêmes types d’erreurs ont été constatées pour les subventions de la Ville de Paris."
Interrogé sur ces anomalies, le Groupe SOS a répondu qu’il s’agissait d’erreurs du logiciel comptable. Le logiciel comptable qui vous crédite des millions d’euros sur votre compte.
On veut le même !
- Le Jeune loup atlantiste, qui côtoie les fondations de Soros, Bill Gates ; Rothschild et Rockefeller, et qui s’est bâti un empire en surfant sur le réchauffement climatique, l’insertion des défavorisés ou l’égalité homme-femmes.
Le numéro 2 du Groupe SOS est Nicolas Hazard. Il dirige le comptoir des innovations pour SOS. Il dirige aussi CALSO, " une entreprise sociale européenne basée en Californie, avec un chiffre d’affaires de 900 millions de dollars et 12 000 salariés, qui vise à préserver l’environnement et à briser des obstacles majeurs pour des personnes défavorisées".
Pardon ?
Ce jeune loup trouve encore du temps pour être président du conseil stratégique de la ville de Paris. Il participa à l’incroyable conférence au Maroc : Femme pour le climat, qui avait pour thème : Femmes, égalité des sexes et changement climatique.
Un sketch des Inconnus n’aurait pas réussi à faire mieux que cette intervention : La lutte contre le réchauffement climatique : une affaire de genre ?
Une réunion qui se déroulait sous le haut patronage de sa majesté Mohamed VI.
Il a été consultant dans une série de Think-Tanks atlantistes, de coopération franco-américaine ou internationale comme le Conseil national pour le développement et la solidarité internationale (CNDSI). Le plus troublant reste cet coopération à la Mission des relations avec la "Société Civile et les Partenariats Ambassade de France aux Etats-Unis, Service de Coopération et d’Action Culturelle" (sic). Nicolas Hazard a participé à un grand chantier sur le 501(c) 323, c’est à dire l’article 501 alinéa c du code américain qui gère les associations à but non lucratif.
Ce secteur représente des dizaines de milliards d’euros, et 10 % du PIB américain.
L’on apprend ici, que M. Hazard a participé à ce rapport qui veut uniformiser mondialement le fonctionnement des entreprises et ONG à caractère culturel sanitaire et social, en les refondant entièrement sur le modèle américain.
La liste des signataires de ce rapport est édifiante :
Rockfeller fundation, Rothshild fundation, Open society fundation de Georges Soros, Bill Gates fundation, Coca cola fd, Jp Morgan fd, Kellogs fd, Exxon fd, Goldman Sachs fundation.
Le rendez-vous de la philanthropie !
La mise en place du Nouvel Ordre Mondial va passer par ces canaux d’associations et de fondations qui privatisent à leur profit ce qui était du domaine des Etats en gérant le culturel, le sanitaire, le social, l’associatif, le sport, l’éducation etc.
Ils s’organisent au niveau supranational, et détournent à leur profit, leur idéologie et leurs volontés néfastes et prédatrices, toutes les activités sociales et humaines des habitants de la planète. Ils sont désormais maîtres de la santé du berceau à la tombe, du placement de l’enfance en détresse, des prisons et centre de détentions pour mineurs, des ONG humanitaire, etc. C’est une de leurs nombreuses officines qui est en charge de l’implantation des clandestins dans les villages français.
Avec l’argent du contribuable et la complicité des gouvernements via les préfets de régions et de départements.
Ci dessous les liens :
http://www.midilibre.fr/2016/10/18/un-maire-denonce-le-diktat-du-prefet%2c1411081.php
http://www.liberation.fr/futurs/2013/11/06/jean-marc-borello-traversee-en-solidaire_945104
http://www.groupe-sos.org/structures/103/Alterna
http://www.tama-mayotte.com/sites/default/files/fichiers/rapport_dactivite_2015_-_tama_-_web.pdf
http://www.groupe-sos.org/structures/73/Service_de_Placement_Familial_Yvelines
http://www.groupe-sos.org/actus/2642/Nouvelle_boutique_Puerto_Cacao
http://www.ginkgo-volunteers.org
https://www.linkedin.com/in/jean-christophe-paille-4a806089
http://www.ladocumentationfrancaise.fr/var/storage/rapports-publics/134000807.pdf
http://www.liberation.fr/futurs/2013/11/06/jean-marc-borello-traversee-en-solidaire_945104
http://lexpansion.lexpress.fr/actualite-economique/le-palace-une-boite-d-en-nuis_1338925.html
http://owni.fr/2011/10/20/les-cachotteries-du-groupe-sos/
http://www.groupe-sos.org/contact/visualiser/id/905/Nicolas-HAZARD
http://www.salonsme.com/2015/auteurs/nicolas-hazard-president-de-calso-inc-4675.html
http://www.womenstribune.com/fr/programme/
http://jetone.linuxpl.eu/fr/nicolas-hazard-2/
https://fr.wikipedia.org/wiki/501c
http://fr.franceintheus.org/IMG/pdf/501c3_and_issues_related_vf-mars_2015-2.pdf